mardi 1 juin 2010

Mort ou vif je reste négatif.


Incompréhensible douleur aigue endormie profondément dans les fins fonds d'un crâne endolorie par des tubes sans fins emmelés au grés de mes envies, de mes désirs. Un peu trop compliqué, un peu à part dans l'espace, perdue dans le tréfond d'une galaxie comtemporaine pas encore tout à fait connue. Je n'existe alors plus qu'à moitié. Je me suis perdue dansun ailleur trop lointain, d'où peut-être je ne ressortirais jamais vivante.

Drawing : JÖ.

1 commentaire:

  1. Mais oui bien sûr... !

    << L'hémorragie de tes désirs
    S'est éclipsée sous l'azur bleu dérisoire
    Du temps qui se passe
    Contre duquel on ne peut rien

    Être ou ne pas être
    Telle est la question
    Sinusoïdale
    De l'anachorète
    Hypochondriaque


    [Refrain]
    Mais tu dis (bis)
    Que le bonheur est irréductible
    Et je dis
    Et il dit
    Que ton espoir n'est pas si désespéré
    À condition d'analyser
    Que l'absolu ne doit pas être annihilé
    Par l'illusoire précarité de nos amours
    Destituées
    Et vice et versa (bis)


    Et il faut que tu arriveras
    À laminer tes rancoeurs dialectiques
    Même si je suis con...
    ...vaincu que c'est très difficile

    Mais comme moi, dis toi
    Qu'il est tellement plus mieux
    D'éradiquer les tentacules de la déréliction
    Et tout deviendra clair

    [Refrain]
    Mais tu dis (bis)
    Que le bonheur est irréductible
    Et je dis
    Et il dit
    Que ton espoir n'est pas si désespéré
    À condition d'analyser
    Que l'absolu ne doit pas être annihilé
    Par l'illusoire précarité de nos amours
    Destituées
    Et vice et versa (bis)

    D'où venons nous ?
    Où allons nous ?
    J'ignore de le savoir
    Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
    C'est que le bonheur
    Est à deux doigts de tes pieds
    Et que la simplicité réside dans l'alcôve
    Bleue, et jaune, et mauve et insoupçonnée
    De nos rêveries mauves et bleues, et jaunes et pourpres
    Et paraboliques
    Et vice et versa

    [Refrain]
    Mais tu dis (bis)
    Que le bonheur est irréductible
    Et je dis
    Et il dit
    Que ton espoir n'est pas si désespéré
    À condition d'analyser
    Que l'absolu ne doit pas être annihilé
    Par l'illusoire précarité de nos amours
    Et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité
    Sous des aspérités absentes
    Et désenchantées
    De nos pensées iconoclastes
    Et désoxydées
    Par nos désirs excommuniés
    De la fatalité
    Destituée
    Et vice et versa (bis)>>

    RépondreSupprimer