dimanche 26 décembre 2010

Maria s'endort elle imite les morts. Les petits anges bleus lui suçent les yeux.


Merry Christmas ! Je n'aime toujours pas Noël.


N'oubliez pas, Vous perdrez la tête, et vous perdrez les os !

dimanche 5 décembre 2010

« I try all days to remember it. »


Suicide Sunday. See you later.

Picture : me.

mercredi 17 novembre 2010

Tout est là.

Perdue à 200 années lumières de la terre. Je ne sais plus exactement. Trop de questions. Pas assez de réponse. Plus grand chose n'a d'importance vous savez. Elle revient de temps en temps, vous savez. Nous vous ne savez pas, vous n'étiez pas là. Luna. J'ai du mal parfois, à la suivre. C'est dur. Je ne m'en sors pas. Je m'habitue à ses mots, à sa présence. Je l'envie même parfois.

mardi 9 novembre 2010

jeudi 21 octobre 2010

Toujours des fleuves qui me remontent, et des vomissures qui me comptent, parmi elles.


Juste le temps de battre des cils. Un souffle, un éclat bleu, un instant, qui dit mieux. L'équilibre est fragile. J'ai tout vu, je n'ai rien retenu. Pendant que ton ombre en douce te quitte. Entends-tu les autres qui se battent à la périphérie ? Et même si tes yeux dissolvent les comètes, qui me passent une à une au travers de la tête j'y pense encore. J'y pense. J'y pense encore. J'y pense. A cette époque on n'écoutait qu'à peine le clic cloc des pendules. A l'heure où je te parle sans entrave, il circule. En septembre en attendant la suite des carnages il se peut qu'arrive la limite. J'y pense encore. J'y pense. Ensemble maintenant on peut prendre la fuite. Disparu. Avant qu'ils aient fait ouf. J'y pense encore, j'y pense. J'y pense encore, J'y pense. J'y pense, j'y pense.

mercredi 22 septembre 2010

Bijou, bijou, te réveille pas surtout.


Je manie les mots, la tendresse un peu moins bien. Les choses changent vites, pas le tems de se retourner, qu'on a manqué le train. Je ne veux pas. Recommencer chaque fois. S'habituer à la nouvelle odeur des locaux, les nouvelles personnes, le nouvel environnement. Combien de mois ? Je ne regrette pas. Parfois des choses sont à changer, à mettre de côté. Arrêter. Attendez les pluies acides. Le souffle coupé, la gorge irritée.Je m'époumonais sans broncher. Montre-moi d'où vient la vie
Où vont les vaisseaux maudits. J'crains plus rien.

lundi 30 août 2010

So hard to explain the darkness.


She miss me already. I'm like a bug, a little little bug. A little bug in a large world. Stupid idea. Stupid feels. Stupide but unavoidable. I need her presence. I need her voice. That's the way.

Picture of her : me.

jeudi 29 juillet 2010

lundi 5 juillet 2010

DANCING IN THE DARK.

Dans la vie, il y a ceux qui réusissent, qui ont de l'or entre les mains et ceux qui échouent, et echoueront jusqu'à la fin. Et enfin il y a les autres; les inclassables, ceux qui sont toujours laissé à part. Et là dedans je n'ose dire où je me situe vraiment. Je sais juste que je ne suis pas sérieuse.

mercredi 16 juin 2010

POSITIVELY NEGATIVE.


EVERYODY'S CHANGING. SOON.

Picture : me.

vendredi 11 juin 2010

Le Freak c'est chic.


HOW TO MAKE A MONSTER ?

mardi 1 juin 2010

Mort ou vif je reste négatif.


Incompréhensible douleur aigue endormie profondément dans les fins fonds d'un crâne endolorie par des tubes sans fins emmelés au grés de mes envies, de mes désirs. Un peu trop compliqué, un peu à part dans l'espace, perdue dans le tréfond d'une galaxie comtemporaine pas encore tout à fait connue. Je n'existe alors plus qu'à moitié. Je me suis perdue dansun ailleur trop lointain, d'où peut-être je ne ressortirais jamais vivante.

Drawing : JÖ.

mercredi 26 mai 2010

A l'origine.


Mademoiselle rit. Mademoiselle pleure. Mademoiselle dit "Elle n'a aucun coeur". Mademoiselle crie. Mademoiselle dort quelques heures. Mademoiselle a peur. Mademoiselle vit. Mademoiselle danse. Mademoiselle gueule. Mademoiselle jouit. Mademoiselle sort mais à l'intérieur. Mademoiselle est morte. Mademoiselle crache. Mademoiselle frise. Mademoiselle n'lache jamais sa prise.

Picture : me.

lundi 24 mai 2010

Gobe gobe gobe l'acide.


Prenons le large, prenons le large, ne rentrons pas mon coeur.
Prenons le large, prenons le large ne rentrons pas mon encore.


Picture : me.

dimanche 9 mai 2010

Help myself soon.


Ces tubes qui ne sont que des liens, qui se resserrent au fur et à mesure. Plus tu te débats moins tu respires. Attaché à soi-même. Chaines sans fin, sans retenue, sans largeur. Jusqu'au jour où ça part et que plus rien ne tient. Et ce fut la fin d'un être inconnu. Tiraillé, agressé, défait, flétri, creusé. Décadence allégée. Le sang mélangé à l'acide ne soulagera pas les douleurs du passé.

mardi 6 avril 2010

mardi 23 mars 2010

Comment ça marche un corps étranger à son corps ?


Il parait qu'il faut s'habituer à des printemps sans hirondelle.

Picture : me.

mardi 9 mars 2010

Ici Paris.





Toujours des fleuves qui me remontent. Et des vomissures qui me comptent, parmi elles.

mercredi 3 mars 2010

Black and Blue.


C'était chacun sa vie. Mais sache le tout ça va trop vite pour moi. Il faut que j'arrête, que je calme le jeu, au risque de ne plus m'en sortir. Je n'y suis plus. Parce que j'ai mon monde à présent, et que mon monde ce n'est rien d'autre qu'elle. J'essaie de m'aérer, mais une semaine chez soi, seule, c'est éprouvant, il faudrait que j'arrive à comptabiliser le nombre d'heures où j'ai été nette, je crois que ça se compte sur les doigts d'une main. Je veux retourner là bas avec elle, parce que je ne m'imagine pas une minute ans elle, sans sa peau, sans son rire. Alors s'isoler à côté de la tamise, avec ses bras pour simple refuge, il n'y aurait que ça de bon, de bien.

samedi 13 février 2010

" Je pense que tout le monde devrait etre une machine. " A.W.


T'as oublié ton avant-garde au coin de la rue. T'as oublié de te renouveler. Rien n'a d'égal à hier. Je suis d'accord, ça me monte à la tête, mais nous n'y sommes plus. Rien à voir. Rendez-nous les Lichtenstein, et autres Oldenburg, tous les Degas, les Klimt, les Delaunay, les Munch, les Kandinsky. Tous les Malévitch, les Tatline, les Schwitters. On ne retrouvera ni Duchamp, ni Klein, ni Mondrian. Gropius, Van der Rohe, Breuer, et Gaudi ont enterré leurs architectures. Ernst, Magritte, Pollock, De Kooning, ont rangé leurs pigments. Moore a détruit ses pierres courbes, Saarinen a oublié ses chaises Tulipes ailleurs que chez moi. Dior n'est plus, Arman n'est pas à l'heure, Cesar coule tel ses expansions, Niki de StPhalle est partie sans ses Nanas. Warhol. Ils sont tous partis. Tu t'es encore plantée. D'époque. De jour. De date. Et personne ne te rendra le temps, ni les gens. Décalé. Les ambiances n'existent plus non plus. Rien.

dimanche 7 février 2010

Elle t'a oublié dans la nuit. Tant pis.


J'attends gentiment. Je m'en remets au hasard. Comment fait-on quand on y est pas ? Quand on est plus nul part ? J'attends que ça passe. Ce goût amer qui a décidé de bâtir sa demeure sur mes papilles. Jamais ne te regarde en face. Mes tempes, ma tête, mes yeux, ma bouche, mon nez, mes bras, le reste. Plus rien. La bouche remplie de je ne sais trop quoi. Nous serons deux un point c'est tout. Je ne comprends rien. Plus rien. Et ça ne passe pas, reste bloqué, jamais ne ressort.

Picture : me.

dimanche 31 janvier 2010

Quand on y est pour rien, on y est pour personne.


L'acide s'écoule. Plus rien n'a de sens outre ses bras. Je ne vis plus - que pour ça. A taire. Un état second. Lourde, lasse de tout ce qui n'a plus de sens. Peu importe. Prémâché. Bleu. Sans intéret. Je ne vis plus avec vous, puisque je ne vis qu'à moitié. Parfois. Quand elle est là. Je ne sais plus. Comment ça ira, où ça ira. Si je sortirais un beau jour de ma léthargie. Peut être que je comprendrais mieux mes erreurs. Je ne sais pas. Je ne sais rien. Je ne sais plus rien. Pas même écrire. Pathétique pitoyable. Invivable. Insupportable. L'acide ne s'arrêtera donc jamais de couler.

Picture : me.

jeudi 28 janvier 2010

Decades.



Ta folie.
Mes déboires et ses diables exquis.

Picture : Josée.

lundi 25 janvier 2010

She's lost control.


Nous tomberons encore.