
Juste le temps de battre des cils. Un souffle, un éclat bleu, un instant, qui dit mieux. L'équilibre est fragile. J'ai tout vu, je n'ai rien retenu. Pendant que ton ombre en douce te quitte. Entends-tu les autres qui se battent à la périphérie ? Et même si tes yeux dissolvent les comètes, qui me passent une à une au travers de la tête j'y pense encore. J'y pense. J'y pense encore. J'y pense. A cette époque on n'écoutait qu'à peine le clic cloc des pendules. A l'heure où je te parle sans entrave, il circule. En septembre en attendant la suite des carnages il se peut qu'arrive la limite. J'y pense encore. J'y pense. Ensemble maintenant on peut prendre la fuite. Disparu. Avant qu'ils aient fait ouf. J'y pense encore, j'y pense. J'y pense encore, J'y pense. J'y pense, j'y pense.