dimanche 28 février 2016

Si tu suis mon regard, tu verras des doutes.

"Tu es mon amour, ou tu ne l'es pas.[...]Je voudrais que ce séjour dans tes bras, que tes caresses ne s'arrêtent pas. Je voudrais compter les jours sur tes doigts. Tu n'es mon amour ou tu ne l'es pas. Nous sommes amants ou n'en sommes pas,nous sommes amants ou n'en sommes pas. Et face au vent on se soutiendra, dans quarante ans on s'en souviendra. Tu es mon amour ou tu ne l'es pas. Tu es ce velours si doux sous mes doigts, et ce détour qui n'en finit. Je voudrais que ce séjour dans tes bras, que tes caresses ne s'arrêtent pas. Je voudrais compter les jours sur tes doigts. Tu n'es mon amour ou tu ne l'es pas. Toi tu es muet, tu ne réponds pas.[...]Tu es mon amour ou tu ne l'es pas. Tu es mon amour ou tu ne l'es pas. Tu es mon amour ou tu ne l'es pas. Tu es mon amour ou tu ne l'es pas."

lundi 29 juin 2015

C'est pas la peine.

Je suis très bien là où je suis et j’aimerais que l’on cesse de me convaincre de l’inverse. Qu’on essaie de me dire que ce que je fais n’est pas la bonne manière, que je devrais faire attention, que ça a été trop vite. Peut-être y a-t-il un syndrome de persécution latent derrière tout cela, aucune idée, mais cela se pourrait. Juste foutez moi la paix. Les choix font ce que l’on est et quand bien même on se tromperait cela ne fera que nous permettre d’avancer. Les choses sont faites ainsi. Je n’ai plus envie de réfléchir à mille choses en même temps, plus envie de soumettre mon cerveau aux dédales de ce qui devrait pourtant être inconscient. Prendre le temps de prendre son temps. Dans des bras, dans tes bras, tous les soirs, tous les jours, toutes les nuits. Se dire que ça arrivera, parce que c'est comme ça, parce que c'est évident comme peu de choses l'ont vraiment été jusque là. Parce qu'on se retrouve guidé par une sorte de pulsion "primaire", de pulsion que l'on aurait trouvé purement débile, purement niais il y a tout juste quelques mois de cela. Je ne sais pas pourquoi c'est comme ça, tout ça dans cet ordre là. Des bras, des yeux, une voix, une attitude, une atmosphère, une vie, une personne, tout ça et plein d'autres choses. Le soleil sort de sa tanière, mais la morsure du froid est douloureuse. Les yeux collés, les mains tremblantes. Le sommeil reste en surface. Les yeux rougis. Tu t'en sors comme tu peux. Le manque ne fait jamais le même effet. Tout dépend des personnes, des manques.. Plus ça va plus tes yeux me crient de ne pas partir. J'ai juste envie de crier parce que je ne veux pas. Le creux de ton cou, tes mains, ton souffle, tes bras. Du jour au lendemain tu as pris toute la place. Il n'y a même pas l'angoisse habituelle "quand est-ce que tu décideras de m'abandonner ?". Peut être juste que c'est différent de tout ce qu'il y a eu avant. Pourtant le passé nous construis et on ne pourra jamais oublier certaines choses. Le passé fait juste que l'on est ce que l'on est. Le présent est juste le plus important.

dimanche 23 novembre 2014

Stay.

"Depuis que j'ai rencontré ses yeux bleus, je me suis apaisée."

lundi 17 novembre 2014

"Là tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté."

Obsession solaire. Se dévoiler. Attendre que le temps fasse son terrier au milieu du désordre. Je reconstruis tout ici. Reconstruire sur des ruines, mais "ce qui ne tue pas vous rend plus fort". S'efforcer de ne pas oublier le passé, puisque de toute façon on ne se construit pas sans. Voilà. Autre chose a commencé. Sans trop, encore une fois, que tu t'y attendes. Bizarrement, il n'y a là pas de goût de déjà vu, pas d'attente particulière. Tout est mieux comme ça, tellement que ça en devient presque suspect. Puisque de toute façon chaque chose qui ne ressemble pas à l'existant a quelque chose de suspect. Tu espères juste que cette fois l'amertume sera moins dure. Voire qu'il n'y en aura pas -mais faudrait peut-être pas abuser-. L'absence brûle, mais ce n'est rien à côté de la sérénité des moments. Peut être que pour une fois l'équilibre est présent, qu'il s'est installé sans bruit, sans mot dire, et qu'il a bien fait. Reposée, soignée des maux du passé, les chiens n'aboient plus. Le ciel s'est dégagé, peut être que pour une fois, tu t'en sortiras.